La pétulante Ruth Iniesta offre une adorable Sophie, malgré un français exotique, nettement supérieur toutefois à celui de Luca Gallo en Bailli. Lorsque paraît Albert, impeccablement composé par Jean-François Lapointe, fringant tout d’abord, odieux et implacable par la suite, d’une diction parfaite, la comparaison est impitoyable.
François Lesueur, Opéra Magazine, février 2017
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