Jean-François Lapointe impose avec élégance un Germont confit dans les conventions sociales mais pas dépourvu d’humanité.
Jean-François Lapointe incarne un Germont d’une grande humanité, son théâtre figurant pleinement les confrontations entre préjugés et empathie, entre devoir et compassion. Sa voix, toujours vectrice d’émotion lorsque le port est malmené, se muscle dans des accents d’autorité, remplissant alors l’espace d’un timbre soyeux.
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